C’est drôle ces passages dans la vie où vous vous retrouvez dans un tel moment de plénitude et de bonheur que vous arrivez en avoir peur. Peur que tout s’arrête demain. Comme si c’était trop beau pour être vrai. Ces périodes où on se laisse porter. Des choses bien, voir incroyable, arrivant sans forcément avoir l’impression de les déclencher. Comme si elles arrivaient seules à nous. Et puis à l’inverse, il y a ces périodes où tout va de guingois. Où il y a eu juste ce truc qui est venu perturber ce bonheur que vous viviez et après c’est un enchaînement sans fin d’évènements malheureux. Où chacunes de vos décisions vous amènent à une situation qui ne vous correspond pas. Cette impression de s’enfoncer et s’enfoncer encore. Où vous arrivez à être complètem

ent perdu. Et puis d’un coup dans ce brouillard, un événement inattendu, un appel ou un simple sms, apparaît, sans lien de causalité avec votre quête. Et tout s’éclaircit. Chaques choses reprennent progressivement leur bonne place. C’est ce que j’aime appeler les belles surprises ou belles rencontres de la vie. « La clarté ne naît pas de ce qu’on imagine le clair, mais de ce qu’on prend conscience de l’obscur. »  – Carl Gustav Jung.

Carl Gustav Jung parlera de synchronicité lorsque deux événements concrets dont on est sure qu’il n’y a pas de relation de cause à effet et qu’il y a un 3e élément intérieur, subjectif, qui fait sens pour la personne qui la vit. La synchronicité n’existe que parce qu’il y a la personne qui la vit….

 

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